Sur les traces des marins vikings, partez à la découverte de Midgard, la terre du millieu… la terre des hommes. La Mandragore a décidé d’imaginer quelle musique ces infatigables voyageurs auraient écrit s’ils en avaient eu le loisir. C’est un métissage de Constantinople à Terre-Neuve : du folklore scandinave; des chants en islandais, en suédois, en norrois…; nos instruments méditerranéens; et quelques ajouts purement nordiques. Cet album de musique scandinave agrémenté de récits de sagas et d’anecdotes historiques laisse un goût de neige, de sel et d’hydromel.
« (…) Bien sûr, La Mandragore conserve des instruments qui ont fait leur marque, tels la flûte à bec, l’oud, le cistre et quelques percussions ; bien sûr que des métissages avec le Moyen-Orient sont encore explorés, mais la présence nordique, tout comme le développement du chant collectif, confère à ce disque un fort caractère.» Y. Bernard, Le Devoir (28 août 2015)
«(…) La Mandragore nous sert en islandais, en suédois, ou même en français, des interprétations intuitives et des compositions inspirées de textes anciens jouées sur des instruments qui le sont tout autant (chalémie, cistre ou traverso, entre autres). Pour voyager!»
R. Beaucage, Voir (19 août 2015)
«The 12 tracks on the CD are remarkably effective in generating a sense of otherworldliness (…) The presentation of the material is uniformly excellent, with all members of La Mandragore except cellist Amanda Kesmaat providing vocals at some point in addition to their instrumental contributions. Midgard is scarcely a clear window into the past, but it is a fascinating, even exhilarating way to explore a possible past through music that has considerable charm and a character quite unlike that with which modern listeners are likely to be familiar.»
The Infodad Team (11 juin 2015)
Convivencia : vivre ensemble. La Mandragore s’est mise en quête de l’Andalousie de la convivencia, cette cohabitation pacifique et presque mythique entre chrétiens, juifs et musulmans. Dans cet album, le nay côtoie le traverso, le oud chante avec le cistre, les darbukas se joignent aux palmas, et les langues s’entremêlent. Le groupe n’a pas cherché à créer un document historique, mais plutôt un hommage vibrant et passionné au métissage des cultures.
« …du chant poétique séfarade, la tristesse d’une mélopée, la délicatesse de la musique arabo-andalouse et même des références au folk mondial et à la musique improvisée. Un envoûtant mélange » Le Devoir, Yves Bernard, 29 octobre 2010
« une prise de son d’une qualité inouïe… cinq instrumentistes de haut niveau »
1re chaîne Radio-Canada, Éric Langlois, 10 novembre 2010
Étrange royaume que ce Saint-Empire romain d’Occident qui s’étendait de la Mer du Nord à la Sicile… Et quel personnage que ce Frédéric 1er dit Barberousse: monarque d’un domaine sans capitale qui passa une grande partie de sa vie à cheval. La Mandragore dresse un portrait musical de l’époque de Barbarossa et de ses descendants: des extraits des Carmina Burana, des Laudario di Cortona, de l’œuvre d’Hildegard von Bingen et de manuscrits français.
« Beaucoup de couleurs sonores, interprété avec maestria! Et il y a toujours cette voix séraphine de la soprano Ingried Boussaroque qu’on ne se lasse pas d’entendre. »
Culture Hebdo, octobre 2005
La Mandragore continue son exploration de l’Espagne médiévale et des grands manuscrits qu’elle a produits. Du Llibre Vermell de Montserrat, en passant par les Cantigas de Santa Maria, les chansons séfarades et arabo-andalouses, l’auditeur a droit à un portrait séduisant et exotique. Cet album, enregistré en concert, permet d’entendre un large éventail d’instruments ainsi que la fougue propre à la Mandragore.
« Les voici de retour, ces très joyeux lurons musicaux, avec un nouvel album. Ils nous font redécouvrir les sonorités vibrantes d’une époque lointaine. »
L’Oriflamme, automne 2002
Alfonso X, ce roi très pieu de Castille et de León, fit recueillir et mettre en musique plus de 400 histoires de miracles accomplis par la Vierge Marie. Il s’agit des Cantigas de Santa Maria. Tous en sont témoins, marchands, chevaliers, prêtres, artisans, hommes, femmes, vieillards et enfants. La Mandragore nous présente dans ce premier album un éventail de pièces médiévales, tirées principalement du répertoire méditerranéen.
« À savourer comme un grand cru »
F. Hurthubise, L’Oriflamme, printemps 2001
« il y a là tous les éléments pour que le « miracle » s’opère… »
Gilles Plante, Ensemble Claude-Gervaise